Mercredi 5 novembre, rencontre d’Alain Forsans Président FFAM et Annie Bouchard avec Laurence Bancel-Charensol Directrice du CFA SUP 2000.
Avant l’ouverture du Salon du Patrimoine, nous avons profité d’une disponibilité de Mme Bancel- Charensol Directrice du CFA SUP 2000 pour la rencontrer. Son accueil a été des plus chaleureux et son plaisir de recevoir les dirigeants de la FFAM dans les murs du Moulin de la Chaussée était évident. Nous avons étudié les possibilités de réunions de la FFAM au Moulin de la Chaussée, du lundi au vendredi et ponctuellement le samedi.
Il nous est apparu le manque de visibilité du Moulin de la Chaussée dans les villes de Saint-Maurice et de Charenton, la FFAM va œuvrer pour obtenir une meilleure diffusion de l’image du dernier moulin hydraulique de Paris.
Le CFA SUP 2000 fête ses 25ans en juin 2015, nous envisageons d’organiser une exposition sur l’histoire du moulin et de la FFAM qui servira également pour les Journées des Moulins. Nous avons décidé avec Mme Bancel-Charensol d’ouvrir le Moulin au public les 20 et 21 juin en partenariat. Mme Bancel-Charensol pour consolider notre entrevue du mercredi est venue un long moment sur le stand de la FFAM au Salon du Patrimoine.
Un autre évènement se met en place ; à la suite de l’AG de l’association des Journalistes du Patrimoine, Alain Forsans a suscité l’organisation d’une Journée des Journalistes du Patrimoine au Moulin de la Chaussée, le Bureau de l’AJP ainsi que Mme Bancel-Charensol ont été enchantés de cette opportunité, cette journée se déroulera en avril 2015.
Le 17 novembre, les membres du bureau de la FFAM, Alain Forsans président, Georges Pinto secrétaire, et Annie Bouchard trésorière, ont tenu leur toute première réunion au nouveau siège social de la Fédération.
Accueillis par Mauricette Poutignac Sous-directrice et Valérie Soleillant Responsable Financière du CFA, ils ont visité les 18 salles de travail, qui, excellente idée, portent toutes un nom se rapportant au moulin ou à ses activités. En pénétrant en ce lieu tous ont eu une pensée pour les grands anciens qui les avaient devancés, qui avaient, avec beaucoup de détermination, voulu sauver ce dernier moulin de Paris condamné à la destruction, Gérard Gailly qui au titre d’ABF avait mis en chantier les premiers travaux de restauration, sans oublier George Henri Rivière directeur du musée des ATP, et souhaitaient , toujours visionnaires, y créer un grand musée de la meunerie, ainsi que tous les bénévoles d’alors dont le temps ne comptait pas. Dans le hall d’entrée une plaque commémorative FFAM, en complément de celle posée par le Conseil général du Val-de-Marne à la fin de ses travaux, mériterait de rappeler brièvement cet épisode de l’histoire du moulin. Idée à suivre…